Les marchands ambulants seront autorisés dans le CBD de 17h à 22h

Les engagements auront lieu les 3 et 4 novembre à la Charter House de l’hôtel de ville.

Les invités comprennent des associations de consommateurs, des groupes d’intérêts spéciaux, des organisations communautaires, des propriétaires d’entreprises au sein du CBD, des représentants des secteurs privé et public.

Au cours des campagnes, le gouverneur Sakaja a promis qu’il accorderait la priorité à la lutte contre le traitement sévère des colporteurs dans la ville.

Musumba a assuré à la communauté des affaires de Nairobi qu’il mettrait fin aux difficultés qu’ils éprouvent dans leur travail.

La menace des colporteurs dans le CBD a été un problème que les administrations précédentes n’ont pas réussi à résoudre de manière décisive.

Leur traitement des colporteurs était un maillon faible que les critiques utilisaient pour mettre en évidence les échecs administratifs des anciens gouvernements de comté.

Avec Sakaja à la barre, la menace des colporteurs reste un gros casse-tête, surtout le soir quand les commerçants occupent toutes les allées. Ils laissent les piétons se battre avec les véhicules dans les rues principales.

Cela provoque de la confusion et des embouteillages.

Le premier gouverneur de Nairobi, Evans Kidero, a blâmé ce qu’il a appelé les cartels à l’hôtel de ville pour les problèmes des colporteurs.

Il a accusé d’anciens conseillers et députés de faire pression pour leur retour au CBD chaque fois que le gouvernement du comté les a poussés hors des rues.

Son successeur Mike Sonko a promis d’organiser les colporteurs dans les 100 premiers jours de son administration.

Le plan était d’enregistrer tous les colporteurs, petits commerçants et commerçants en vue de les reconnaître, de les protéger et de leur permettre d’opérer dans la ville.

La stratégie s’est retournée contre lui et les colporteurs sont depuis restés gênants et un élément permanent dans les rues de Nairobi.

(Édité par V. Graham)